Anonyme

Au sujet de la ville

Une ville, mille immeubles, cinq mille fenêtres pour quarante mille vies. Autant de visages derrière les murs qui pestent sur les pigeons des parcs et des squares qui s’inquiètent des chats sur les toits qui s’offusquent des grèves sans raison. Les voitures, le bruit des voitures, leur odeur et la poussière noire qui s’infiltre partout.

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